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 [25/02/2012] Interview with John and Gustav for Playsound (French website) + translation

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PostSubject: [25/02/2012] Interview with John and Gustav for Playsound (French website) + translation   [25/02/2012] Interview with John and Gustav for Playsound (French website) + translation Icon_minitimeMon Feb 27, 2012 5:14 am

Here is a french interview with John and Gus for Playsound

Quote :
Playsound a eu la chance d’interviewer Young Guns à l’occasion de la sortie de Bones, deuxième album du groupe anglais.

Pour ce nouvel album, vous avez décidé d’enregistrer en Thaïlande. Pour quelle raison avez-vous choisi d’aller enregistrer en Asie et pas chez vous, au Royaume-Uni, où vous avez vos repères ?

John : Nous avons pensé que ça serait une bonne idée de changer d’environnement d’enregistrement par rapport à l’album précédent. Ainsi, lorsque l’opportunité s’est présentée, on en a profité et on a foncé. Nous avons eu beaucoup de chance en ce qui concerne le studio grâce à un ami de notre producteur, Dan Weller, et il s’est avéré que les coûts étaient moindres par rapport aux coûts d’enregistrement au Royaume-Uni. Avoir une telle opportunité, c’en était même dur à croire. C’est pourquoi, une fois l’idée de la Thaïlande mentionnée, nous avons écarté toute éventualité d’aller ailleurs pour enregistrer Bones, nous avons juste tenté le coup.

En quoi le processus de création de Bones différait-il de celui de All Our Kings Are Dead? Est-ce que la Thaïlande a influencé votre son et vos compositions?

John : Jamais deux expériences ne se sont avérées plus différentes. Pour le premier album, nous travaillions dans un studio sombre et étroit de l’est Londonien. Au contraire, le deuxième a été enregistré dans un endroit paradisiaque et utopique qui nous a plus que jamais conféré confiance et bravoure pour réaliser que ce que nous faisions en tant que groupe valait vraiment tous ces efforts. En ce sens, cet isolement a bien sûr influencé ma façon d’écrire. C’était également un environnement idéal car il nous soulageait du stress ressenti sur le premier album. Nous ressentions tous les cinq la pression dans le studio mais nous pouvions aisément prendre dix minutes pour aller nager ou marcher le long de la plage et ainsi décompresser.

Avant de partir pour la Thaïlande, où en étiez-vous dans le processus d’écriture et de pré-production? Les chansons qui avaient déjà été écrites ont-elles subi des modifications une fois sur place ? Quelle est la première chanson écrite pour cet album ?

John : Nous avons commencé par écrire cinq ou six chansons pour cet album mais nous n’étions pas satisfaits du rendu, et de la direction que prenait notre son. Ca n’est qu’au moment où a nous avons écrit Dearly Departed que nous avons su que nous avions enfin atteint la qualité que nous exigions pour cet opus. A ce moment précis, on a effacé tout ce qui avait été fait précédemment, et on a recommencé à zéro.

Nous sommes partis pour la Thaïlande avec environ 75% de l’album écrit et un certain nombre d’idées que nous avions volontairement gardé dans les cartons afin d’utiliser l’atmosphère et l’inspiration sur place pour en faire quelque chose de vraiment spécial et unique. Parmi ces chansons, Broadfields, la dernière chanson de Bones. Toute la puissance de cette chanson repose sur l’énergie qu’elle dégage. Ainsi, nous nous sommes mis à boire, à tamiser les lumières et à observer l’orage par la fenêtre tout en écrivant cette mélodie et c’est justement cette tornade qui a inspiré l’intégralité des paroles de cette chanson.

Bones a été très bien reçu par la critique au Royaume-Uni. Comment vivez-vous ce succès naissant ?

John : Nous sommes toujours sous le choc et agréablement surpris quand nous lisons une bonne critique ou nouvelle en tous genres car on a tendance à être pessimistes. Mais je ne pense pas que ça soit nécessairement une mauvaise chose. Je ne voudrais jamais que l’on devienne suffisants. En ce sens, être pessimiste permet de garder les pieds sur Terre et de constamment se remettre en question. C’est pourquoi nous travaillons toujours aussi dur en espérant que le succès suive.

Vous avez joué à Lyon il y a quelques semaines de ça, quel ressenti avez-vous du public français ? Avez-vous prévu de jouer dans d’autres villes que Lyon en France ? Jouerez-vous les festivals européens cet été ?

John : Nous nous bâtissons progressivement une vraie audience française et c’est prodigieux dans la mesure où la France est un des pays dans lesquels nous préférons jouer. C’est si proche de chez nous. On joue parfois dans des villes britanniques plus éloignées, c’est pourquoi on adorerait faire de la France un second chez-nous. Nous avons une street-team française exceptionnelle qui nous aide beaucoup à promouvoir l’album et les concerts. Nous sommes réellement très impatients de revenir jouer chez vous. Nous jouons d’ailleurs le Festival Rockstorm au Transbordeur à Lyon le 14 avril, et en principe quelques concerts en tête d’affiche très prochainement.

Si vous ne deviez garder qu’une chanson sur Bones, laquelle choisiriez-vous et pourquoi ?

John : Je suggère à tout le monde d’écouter la chanson éponyme, qui est également notre single actuel, Bones. Il semblerait que ça soit la préférée du public, d’après ce que nous avons pu lire et ressentir en concert. L’album est très varié cependant, et je pense pouvoir affirmer qu’il y figure une chanson pour tout le monde.

Les paroles de Bones sont résolument sombres. Comment se fait-il que le ton soit si noir alors que vous avez enregistré dans des conditions idylliques ?

Gus : Je ne sais pas si je suis d’accord avec ça. En réalité, les paroles sont plutôt positives, vraiment. J’ai toujours trouvé que l’imagerie la plus forte pour évoquer, en termes de paroles, est la plus sombre. Je dirais en effet que l’album dans son ensemble est bien plus rythmé et positif que le précédent !

Vous reste-t-il des B-Sides, autres chansons ou enregistrements acoustiques de chansons de Bones à sortir?

John : Nous ferons sans aucun doute les versions acoustiques des chansons. Nous en jouons d’ailleurs déjà à la radio et aux séances de dédicaces dans les magasins. En ce qui concerne les b-sides, rien n’est prévu pour le moment.

A la première écoute de Bones, nous avons été surpris (ceci n’est pas un reproche mais une constatation des plus intéressantes) par le fait que Bones sonne comme les premiers albums de Lostprophets (en particulier au niveau des lead et back vocals). Les gallois sont-ils une véritable source d’inspiration ou la ressemblance n’est-elle qu’une impression ?

John : Cela n’a jamais été notre objectif de sonner comme Lostprophets mais il est vrai que nous avons tous écouter leurs albums en grandissant, et qu’ils ont écrit quelques chansons vraiment incroyables, ce qui a dû jouer inconsciemment sur notre écriture et notre son.

Avez-vous déjà choisi les prochains singles issus de Bones ? Avez-vous des idées pour le prochain clip ?

John : Nous avons déjà choisis les deux prochains singles pour la campagne de promotion de l’album. Hélas, j’ai peur de ne pas pouvoir divulguer cette information pour le moment, mais je peux vous dire que nous avons trouvé un créneau avec notre réalisateur de clips pour tourner les deux prochaines vidéos. Et nous avons un lot d’idées vraiment excitantes.

TRANSLATION

Quote :
For this new album, you decided to record in Thailand. Why did you choose to go record in Asia and not at home, in the UK, where you have your marks?

John: We thought it would be a good idea to change your recording environment compared to the previous album. So when we had the opportunity, we didn't hesitate. We were very lucky in regard to the studio thanks to a friend of our producer, Dan Weller, and the costs were lower compared to the costs of recording in the UK. Have such an opportunity, it was even hard to believe. That's why, once the idea of Thailand mentioned, it was impossible to go elsewhere to record 'Bones'.

How the creative process of 'Bones' differed compared to the one for 'All Our Kings Are Dead'? Does that Thailand has influenced your sound and your compositions?

John: Never two experiences were more different. For the first album, we worked in a dark studio, at the east Londoner. On the contrary, the second was recorded in a utopian paradise which conferred more than ever trust and courage to realize that what we were doing as a group was really worth all this effort. In this sense, this isolation has of course influenced my writing. It was also an ideal environment because we didn't feel the stress we felt on the first album. We all five felt the pressure in the studio but we could easily take ten minutes to go swimming or walking along the beach to relax ourselves.

Before leaving for Thailand, where were you in the writing process and pre-production? The songs already written have they been altered once there? What is the first song written for this album?

John: We started writing five or six songs for this album but we were not happy with the direction of our sound. It is only when we wrote Dearly Departed we knew we had finally reached the quality that we require for this album. At this point, we have deleted everything we had done previously to start all over again.

We left for Thailand with about 75% of the album and ideas that we had deliberately kept in boxes in order to use the atmosphere and inspiration to make something really special and unique. Among these songs, Broadfields, the last song on Bones. All the power of this song is based on the energy it gives off. Thus, we began to drink, dim the lights and watch the storm through the window while writing this song and it is this tornado that inspired the full lyrics of this song.

Bones was very well received by critics in the UK. How do you feel emerging success?

John: We are still shocked and pleasantly surprised when we read a good review because they tend to be pessimistic. But I don't think it's necessarily a bad thing. I would never want that we become sufficient. In this sense, pessimism keeps feet on the ground and constantly question themselves. That's why we always work hard in the hope that success follows.

You played in Lyon a few weeks ago, how have you felt the French public? Do you plan to play in other cities in France? Will you play European festivals this summer?

John: We are building a real French audience and it's amazing the extent that France is one of the country in which we prefer to play. It's so close to home. We play sometimes in British cities further away, so we would love to make France a second home. We have an exceptionnal French street-team who helps us a lot to promote the album and concerts. We're really looking forward to returning to play here. We also play at the Festival Rockstorm at Le Transbordeur in Lyon April, and a few headlining gigs soon.

If you could choose only one song on 'Bones', which would you choose and why?

John: I suggest everyone listen to the title track, which is also our current single, Bones. Apparently it is the audience favorite, from what we read and feel in concert. The album is very varied though, and I think I can say that there is a song for everyone.

Bones of the lyrics are really dark. Why the tone is so dark when you recorded in idyllic conditions?

Gus: I do not know if I agree with that. Actually, the lyrics are positive, really. I would say in fact that the album is more paced and more positive than the last one!

Do you still have B-Sides, songs or other acoustic recordings of songs of Bones coming?

John: Undoubtedly we will do acoustic versions of songs. We already play on the radio and book signings in stores. Regarding the b-sides, nothing is planned yet.

When we have listened 'Bones' for the first time, we were surprised (this is not a criticism but an observation) by the fact that 'Bones' sounds like the first album by Lostprophets (especially at the lead and back vocals). The Welsh are they an inspirational?

John: This has never been our goal to sound like Lostprophets, but it is true that we all grew up listening to their albums, and they wrote some really incredible songs.

Have you chosen the next single from Bones? Do you have any ideas for the next video?

John: We have already chosen the next two singles for the promotion of the album. Unfortunately I'm not able to disclose this information yet, but I can tell you that we have found a niche with our video director for the next two videos. And we have a lot of really exciting ideas.
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